20 décembre 2011

Ole Companero

Sur la rivière des tribunes


Au box à Nancy
A Nancy, dernière haie
Je ne comprends pas comment j'ai pu ne pas parler d'Ole ici plus tôt (enfin si je sais, j'ai eu plein de travail). Mais je vais me rattraper. Ole Companero, qui défend les couleurs de la casaque Papot, est un magnifique pur-sang bai qui m'a tapé dans l'oeil dès le début de sa carrière. Un vrai coup de foudre. J'ai eu la chance qu'il court toutes les plus belles épreuves d'Auteuil au cours des deux années que j'ai passées à Paris (avec pas mal de très bons résultats en plus). Pour l'instant, c'est les vacances pour l'élève de Guillaume Macaire, mais on le reverra sans doute en début d'année ! Il me manque déjà mon petit crack !

26 septembre 2011

Fin de break


Je viens de réaliser que cela fait plus d'un an que je n'ai pas alimenté ce blog... Un an passé à Paris pour terminer mes études et ça y est, je suis libre et diplômée !!! (Je n'ai plus qu'à trouver du travail...)

Beaucoup de choses se sont produites depuis le dernier message publié sur ce blog... Et pour le message "retour", je voudrais rendre un dernier hommage à celui qui a accompagné mes pensées, mes rêves, mes écrits même pendant 7 ans. Mon bébé Field nous a quittés fin juin. Trois mois déjà qu'il n'est plus là, trois mois que trottent dans ma tête deux petits mots bien inutiles "et si ?", trois mois que mes journées et mon coeur  sont bien vides. 


Toi et moi sur la barre au sol

Tes instants préférés, les roulades dans le sable

Il restera toujours mon chouchou. Je n'avais jamais aimé un cheval autant que lui, et aucun autre ne pourra jamais prendre sa place dans mon coeur. Ce poème est pour toi mon champion :


Quand on s'est rencontrés,
Tu n'étais qu'un bébé,
Moi guère plus âgée.
Sous mes yeux tu as changé,
Gagnant force, courage et personnalité.
Plusieurs fois la vie nous a séparés,
Nos derniers jeux au paddock
Nous poussant à poursuivre notre destinée.
Malgré les mois, les années,
Jamais tu n'as quitté mes pensées
Et enfin on s'est retrouvés.
Combien de fois en avais-je rêvé,
Me suis-je demandé
Quand pour la première fois, ensemble on a galopé.
Je pensais que plus rien ne nous éloignerait,
Lorsque l'improbable est arrivé.
Loin de moi tu t'es envolé,
Me laissant seule pour pleurer.
Sache que jamais je ne t'oublierai,
Toi et moi c'est pour l'éternité.